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Le ridicule peut tuer.
D'abord, le ridicule vous tue une réputation en moins de deux. Sans réputation ("vu à la télé" et "béni par la presse"), pas de carrière.
C'est pourtant ce même ridicule mortel qu'a bravé avec autant de courage que d'intelligence une journaliste américaine, Leslie Kean, en écrivant un excellent livre, sur le même sujet honteux traité dans le précédent article, OVNI : Des généraux, des pilotes et des officiels parlent.
Pourquoi "honteux" ? Parce que comme disait Donna Hare dans sa vidéo : "Ce sujet est comme le sexe. Tout le monde sait ce que c’est, mais personne n’en parle devant les dames."
J'ai été surpris d'apprendre, dans le livre de Leslie Kean, qu'environ 90 % des pilotes, contrôleurs aériens et militaires refusaient de rapporter leurs observations de véhicules hors normes. Entre le déni de leurs supérieurs hiérarchiques, la menace de voir sa carrière brisée et le ricanement pathologique des faux sceptiques (ne pas confondre avec "fosses septiques"), on peut comprendre leur réticence.
L'auteure a dû se boucher le nez, plisser les paupières et retenir sa respiration avant de plonger dans ce cloaque médiatique, tant elle s'attendait à être la risée de ses collègues de presse. En dépit des risques pour sa réputation et sa carrière de journaliste, elle a sauté le pas.
Respect pour la bravoure, et plus encore pour l'intelligence. Alors, les deux réunis chez une même personne…
Comme pour le livre d'Ingo Swann , si vous pouvez lire celui-ci en anglais, c'est mieux. Beaucoup mieux, même.
Il y a dans ce livre de Leslie Kean un mélange de rationalisme strict à la Descartes et de finesse d'esprit, rehaussé d'intuition quant à ce qu'il faut dire ou ne pas dire, et comment le dire, pour ne pas froisser les adeptes du culte officiel, lequel culte prêche, sans l'exprimer franchement tant cette idée est absurde, que la "civilisation" de l'homo sapiens est la seule dans cet univers.
Pourtant, notre galaxie comporterait, si l'on accorde foi aux récents calculs effectués par des scientifiques, 240 milliards d'exoplanètes.
Les astronomes actuels estiment qu'il y aurait entre 100 et 200 milliards de galaxies dans l'univers connu.
Ce qui porterait le nombre d'exoplanètes, en calculant au plus juste, à une moyenne de 24 000 milliards de milliards. En se basant sur la proportion de planètes habitées de notre système solaire, soit 1/8e, la moitié d'un quart, et en choisissant la proportion la plus basse, 1/1000 planète abriterait une vie intelligente, ce qui nous ferait une probabilité statistique de 240 millions de milliards de planètes habitées dans cet univers !
Et depuis 14 milliards d'années, aucune de ces 240 millions de milliards de planètes n'aurait été capable de voir naître des civilisations assez avancées pour voyager dans l'espace en s'affranchissant des limitations du temps et de l'espace ?
Certes, on entend braire depuis plus d'un demi-siècle : "Nous, savants, savons que rien ne peut dépasser la vitesse de la lumière, parce que nous pouvons anticiper et prévoir toutes les technologies possibles, et ce malgré notre manque d'imagination."
Tout ce que ça demande, pour accepter l'idée qu'il soit possible de contourner cette limitation de vitesse, en plus d'un minimum d'imagination, c'est un peu d'humilité. Au regard de ce que pourrait être une civilisation vraiment évoluée, nous sommes des primitifs.
Cette histoire de vitesse impossible à dépasser m'évoque les préjugés et l'opposition qui sévirent à la mise en service des premiers chemins de fer. La vitesse des trains allait rendre les gens aveugles ou fous. Impossible d'aller plus vite qu'un cheval au galop !
"Nous sommes la seule civilisation avancée de l'univers."
"Personne ne peut voyager plus vite que la lumière ni s'affranchir des contraintes spatio-temporelles."
Ça vole pas haut, ni loin, c'est le cas de le dire.
Maintenant, s'il existe dans cet univers des civilisations aux technologies bien plus avancées que la nôtre, pourquoi n'auraient-elles pas établi le contact ?
Toutes les suppositions sont permises, à commencer par une stupidité contagieuse infectant bon nombre de Terriens, et qui touche plus particulièrement certains gouvernements.
Si le premier test pour être digne d'un contact avec une civilisation avancée, c'est d'accéder à un niveau d'intelligence suffisant pour arrêter de se prendre pour le nombril de l'univers, il semblerait que nous l'ayons raté, ce test.
Pas tous, heureusement. Une journaliste brillante qui en appelle à la logique plutôt qu'aux préjugés et à la dérision, ce n'est pas seulement rarissime, c'est le prochain stade de l'évolution humaine.
C'est l'histoire de deux debunkers qui voient un ovni…
Le traducteur Reverso nous donne plusieurs sens pour le verbe anglais debunk :
debunkCette définition nous renseigne sur l'intention qui régit cette activité, un parti pris destructeur. Rien de constructif.
verbe transitif
discréditer (une théorie, une affirmation)
briser (un mythe)
démythifier (une idéologie)
Le livre de Leslie Kean, qui dénonce avec justesse la mauvaise foi des debunkers, commence par une recherche et une analyse précise concernant la vague d'ovnis en Belgique.
Petit rappel des faits. Fin 1989, durant une période d'un peu plus de 2 ans, plusieurs milliers de personnes avaient aperçu, à courte distance du sol, des véhicules aériens triangulaires, silencieux, glissants lentement dans le ciel, faisant du sur-place, ou démarrant à des vitesses surpassant très largement les technologies avioniques et aéronautiques connues et utilisées durant cette période. Ces performances dépassent encore les technologies utilisées aujourd'hui, 26 ans plus tard.
Ces véhicules aériens, en forme de triangles noirs, n'ont pas seulement été observés en Belgique, ils sont apparus un peu partout dans le monde, notamment en Angleterre, depuis les années 40 jusqu'à aujourd'hui, ce qui rend leur conception terrienne peu probable, pour ne pas dire impossible.
Qu'est-ce qu'on entend par véhicule ?
Dictionnaire Le Petit Robert :
Engin à roue(s) ou à moyen de propulsion, servant à transporter des personnes ou des marchandises. Véhicule spatial : engin spatial destiné à transporter une charge utile.Hormis les rares phénomènes lumineux ou énergétiques paraissant dépourvus de consistance solide, la plupart des observations rapportées par des témoins (pilotes, militaires ou civils, contrôleurs aériens, policiers ou gendarmes, etc.) correspondent à cette définition.
Je n'ai cité que ces catégories professionnelles parce que leur fonction les oblige à rapporter leurs observations sur des canaux administratifs contrôlés. Sauf, bien entendu, en cas de pressions abusives de leur hiérarchie pour qu'ils se taisent sous peine d'aller pointer au chômage.
Les pilotes, sur lignes commerciales ou militaires, ont fait l'objet d'une sélection impitoyable, basée sur leur sens aigu de l'observation, leur intelligence, leur réactivité dans des conditions extrêmes et leur capacité à prendre des décisions logiques. Quiconque pense que les milliers de pilotes dans le monde qui prétendent avoir vu des ovnis ont halluciné… devrait s'abstenir de prendre l'avion.
Pour en revenir à la définition de "véhicule"', comment peut-on supposer que les engins observés transportent une charge utile ?
Ces machines, dont la longueur (ou le diamètre pour les véhicules circulaires) varie de dizaines à des centaines de mètres, sont souvent dotées de fenêtres ou hublots d'où émane une luminosité interne.
Considérer comme "non identifié" tout ce qui n'a pas été analysé de façon formelle, en observation proche, par des autorités scientifiques reconnues, avec enregistrements radars systématiques, ce n'est pas du scepticisme rationnel, mais de l'obstruction au bon sens. Et de la mauvaise foi évidente vu que des milliers de rapports de pilotes et militaires attestent que la plupart de ces engins se montrent furtifs au point de ne pas apparaître sur les écrans radars tout en restant visibles pour plusieurs témoins situés à des endroits différents, au sol et dans le ciel.
Ces véhicules commettent des infractions à la sécurité et réglementation des espaces aériens. Les gouvernements qui ferment les yeux sur ces infractions, pire, qui permettent que soient sanctionnés les pilotes (militaires ou civils) qui les rapportent, prennent ceux qui les ont élus pour des contribuables.
Non, ce n'est pas une conspiration, c'est l'administration. "Fais pas de vague, fais comme tout le monde, remplis un truc bateau dans le formulaire, attends sagement ta retraite et personne n'aura d'ennuis."
Certains pensent qu'il s'agit de véhicules d'origine extraterrestre, du fait de leurs performances de manœuvres et d'accélérations inédites.
D'autres que ce sont des avions furtifs secrets, conçus par les Américains, par exemple les mystérieux TR-3B ou Aurora.
Envoyer des "avions" furtifs au-delà de l'Atlantique (ou depuis une base secrète quelconque), les faire planer à 200 ou 300 mètres au-dessus des routes et des maisons, pour qu'ils puissent être longuement observés par des milliers de témoins, sans demander l'autorisation préalable du ministère de la défense belge, en violation des accords de l'OTAN… durant près de deux ans, à intervalles répétés. Vraiment ?
La conclusion des debunkers, face à ces milliers de témoins qui ont vu des véhicules triangulaires noirs silencieux avec, sous leur structure, trois larges lumières orange, une à chaque coin, et une lumière rougeâtre au centre, faisant du sur-place, glissant lentement en silence ou accélérant à des vitesses qu'aucun avion n'aurait pu encaisser sans voler en éclats : "Ce sont des hélicoptères."
Le livre de Leslie Kean ne traite pas seulement de la vague d'ovnis chez nos amis belges. Il y en a pour tous les goûts, dans le monde entier, tous les modèles : triangles, disques, cigares, ovoïdes. Les témoignages sont précis, cohérents, lucides. Leurs sources sont les plus crédibles qui soient, comme en témoigne le titre de son livre : OVNI : Des généraux, des pilotes et des officiels parlent.
…
Alors, le premier debunker dit à l'autre :
"T'as vu le triangle noir dans le ciel, avec ses grosses lumières en dessous, qui fait aucun bruit ?
— Bah, non, je le vois pas, puisqu'il fait aucun bruit."
ET go home
Ce qui est sûr, c'est que quelqu'un, qui que ce soit, adopte un comportement peu amical vis-à-vis de la population terrienne.
Se cacher, se dérober, éviter le contact, se tenir à distance, ne pas répondre aux communications, toutes ces attitudes ne constituent pas un modèle de courtoisie.
La première marque de civilité, de politesse, lorsqu'on se trouve face à quelqu'un qui vous regarde, vous observe, c'est d'aller vers lui, le saluer, se présenter.
Les pilotes et militaires rapportent que les intrus ne sont pas hostiles, soit. Mais ils ne sont pas polis, non plus.
Sommes-nous placés sous une "quarantaine" dont nous ignorons la cause ?
Ces ovnis sont-ils des engins de reconnaissance, en préparation d'une invasion future, le temps que le gros des troupes soit installé à des positions stratégiques ?
Si c'est le cas, nos envahisseurs ont un petit problème à résoudre : l'armement nucléaire disséminé un peu partout, aux mains de dirigeants pas forcément sains d'esprit, et dont le doigt se crispe sur le bouton rouge à la moindre provocation.
C'est à ça que servait la guerre froide, avec assez d'ogives nucléaires pour pulvériser tout le système solaire.
"Le premier qui nous envahit, on fait tout péter !"
Au plus fort des "tensions" russo-américaines, le stock d'armement nucléaire sur notre planète avoisinait les 60 000 ogives. Non seulement il y avait de quoi vitrifier la surface du globe plusieurs centaines de fois, mais vu la puissance de certaines armes, elles auraient percé la croûte terrestre, atteint le magma et transformé la Terre en nova. L'explosion résultantte aurait arrosé la Lune et les planètes avoisinantes d'une mitraille de débris, à la façon d'un shrapnel.
S'il y a des vaisseaux et des bases extraterrestres dans les environs, ils en auraient pris pour leur grade.
Même aujourd'hui, c'est encore à ça que servent les tensions internationales et autres menaces de déclarer la "3e guerre mondiale". C'est du bluff.
Nous les Terriens, on est peut-être des primitifs, mais on sait jouer au poker.
Bienvenue à Jurasceptic Park
Hier soir, je réfléchissais à cette attitude des spatiaux vis-à-vis des Terriens.
Tout à coup, j'ai eu une révélation…
Ils visitent notre planète sans sortir de leurs vaisseaux.
Ils évitent tout contact avec la faune locale.
Qui fait ça ?
Vous avez déjà été dans un parc animalier ou une réserve ?
"Mesdames et messieurs, vous trouverez sur les présentoirs du hall d'embarquement un manuel explicatif des règles en vigueur pour cette visite… Je vous demanderez d'en prendre chacun un exemplaire et de le lire attentivement. Que vous soyez en Astrobus ou en vaisseau individuel, je vous rappelle qu'il est strictement interdit de sortir des véhicules, d'ouvrir les fenêtres ou de nourrir les Terriens. C'est pour votre sécurité. Ne les approchez pas non plus de trop près. Vous pouvez prendre des photos derrière les vitres ou les hublots, mais l'utilisation des flashes est prohibée, cela pourrait provoquer des réactions de panique dans les meutes. Respectez les consignes et, si vous êtes très discrets, vous aurez peut-être la chance, en cette saison, d'apercevoir quelques debunkers…
— Je vous demande pardon, madame… c'est quoi un débunker ?
— C'est un Terrien qui apprend à ses congénères que nous n'existons pas…
— Ha ! ha ! ha ! ha !
— Ne vous moquez pas, c'est grâce à eux si nous pouvons visiter le parc."
3 mars 2018
(Après avoir fini le livre de Leslie Kean, voici le commentaire que j'ai mis sur Amazon, assorti d'une note de 5 étoiles.)
Le ciel ne nous tombera pas sur la tête
J'ai acheté la version française, mais après quelques pages, je me suis fait rembourser (merci Amazon) et j'ai pris cette version originale, écrite dans un style fluide, clair. C'est un anglais facile, surtout sur Kindle, avec les dictionnaires accessibles en un clic.
Dès les premiers chapitres, j'ai été impressionné par l'intelligence et le courage de Leslie Kean. Il en faut pour s'attaquer à ce sujet sulfureux, au risque de se griller comme journaliste.
Ce livre est un must pour qui veut comprendre ce qui se passe dans le monde. Il ne s'agit pas seulement d'ovnis, mais d'une aberration sociopolitique où des dirigeants affichent une attitude d'opacité et un paternalisme qui sapent les fondements d'une société qu'ils croient protéger. Face à une menace d'invasion, miner la confiance d'un peuple dans ses institutions et ses idéaux est la pire des stratégies.
Par contre, je n'ai pas adhéré à la thèse du "tabou ovni". Je me suis même demandé si l'analyse psychanalytique de l'auteure sur le "déni pathologique" dont souffriraient les officiels, scientifiques et militaires n'était pas de l'ironie. À quand les prescriptions de traitement pour la "scepticose", un trouble névrotique qui pousse le malade à nier l'existence d'un danger en lui substituant des explications absurdes ?
Pourquoi "danger" ?
Comme l'ont attesté plusieurs observateurs cités dans cet ouvrage, ces véhicules aériens non identifiés laissent entrevoir quatre types d'actions particulières :
1. Une attitude d'observateur neutre, face aux avions civils, et même teintée d'humour avec des conducteurs de voiture, en répondant à des appels de phares par des signaux lumineux.
2. Un comportement tactique, avec des manœuvres d'esquive et de poursuite, face aux avions militaires. Comme celles effectuées par les pilotes d'avion et les sous-marins lors d'exercices de manœuvres.
3. Des rayons lumineux braqués sur des localisations au sol, comme en Angleterre et en Belgique. Lesquels évoquent les pointages laser, infrarouge ou radar, effectués pour "marquer" une cible, préalables à un tir.
4. Une surveillance d'installations nucléaires et un contrôle électronique sur des rampes de missiles intercontinentaux, avec pour résultat de les désactiver. À la grande frayeur des militaires.
Comme Leslie Kean, je pense que les analystes qui ont conseillé les services de renseignement et les militaires sur le chaos qu'engendrerait une divulgation publique se sont trompés. Après avoir enduré des millénaires de guerres, d'horreurs, de génocides et d'esclavage, les Terriens ont prouvé qu'ils étaient plus résistants, plus courageux, plus résilients que d'aucuns ne veulent l'admettre.
Ces vaisseaux spatiaux pénètrent notre espace aérien comme on entre dans un moulin. Surtout depuis que certains ont eu cette idée brillante de faire exploser des bombes A, puis H, sur cette belle petite planète. L'avance technologique des ovnis suggère qu'en cas d'invasion, ce serait le pot de fer contre le pot de terre. Mais le Vietnam, l'Afghanistan et d'autres théâtres stratégiques ont prouvé que la technologie n'était pas tout dans un conflit. Bien sûr, il reste la possibilité d'un génocide, comme en 39-45, mais le brassage ethnique croissant de cette planète, parade à des revendications d'appartenance génétique (raciale) déboucherait sur un conflit trop vaste, trop long, trop coûteux.
La crainte d'abandon des religions est infondée. Le besoin de croire, de rêver, d'espérer est imprimé dans l'âme des peuples de cette planète depuis la nuit des temps. Les croyances s'adapteront au nouveau contexte, comme elles l'ont fait par le passé.
Un détail intéressant, les vagues d'ovnis espacées de plusieurs années semblent indiquer une espérance de vie des visiteurs bien supérieure à la nôtre. Ce qui donne l'impression que leurs opérations aériennes sont aléatoires, tant elles sont étalées dans le temps.
Aussi, j'ai relevé deux illogismes, dans ce livre :
1. Écarter l'idée d'une conspiration sans preuve montre plus un désir de caresser les sceptiques dans le sens du poil qu'une démarche scientifique. Surtout au vu des mensonges gouvernementaux que l'auteure dénonce. Il n'y a pas de preuve de conspiration, mais une "culture du mensonge et du secret" dans l'armée, la NASA, les agences de renseignement, les gouvernements, et un système bâti sur des cloisonnements d'accès à l'information, contrats de confidentialité, menaces et sanctions légales pour "atteinte à la sécurité nationale"… Pas de conspiration, d'accord. Comme dans le livre Personne n'ose l'appeler "Complot"..., le traducteur a osé, puisqu'il aurait dû l'intituler "Nul n'ose l'appeler conspiration" (None Dare Call It Conspiracy).
2. L'admiration de l'auteure pour le GEIPAN et le gouvernement français, suite au rapport COMETA, montre une ignorance de ce qui s'est passé en coulisse, comment les initiateurs du projet se sont fait taper sur les doigts pour avoir transgressé le tabou.
Ou bien ces inexactitudes s'inscrivent dans une stratégie, pour inciter les gouvernements à la transparence, camouflée derrière une fausse naïveté. Qu'importe, le vent tourne. Le mur de silence se fissure. Si l'on en croit les statistiques d'observations d'ovnis, le nombre croissant de visiteurs, dans des véhicules aux technologies variées, suggère un équilibre politique différent, plus ouvert, que celui des décennies passées. D'où les révélations et accès de documents de plus en plus nombreux.
Repos, les gars ! La guerre des mondes n'aura pas lieu. Le ciel ne nous tombera pas sur la tête.
Merci Alain, comdab j'adore lire tes articles,
RépondreSupprimerça reflète tellement ce que je pense de notre "civilisation", et j'ai l'impression que nous vivons sur une "planète prison"!
Merci encore
ML
José